Ouvrir une brèche.
Dans ta routine synchronisée
Dans un ciel gris plombé
Dans ton marre du café
Ouvrir des brèches
Dans des tempos formatés
Par mon train-train youtubé
Dans un univers con-necté
Ouvrir des fêlures dans l’azur
M’y glisser en un murmure
Rire aux quatre vents
à plein coeur à pleines dents
Et pour finir courir vers la mer
Les Quatre cents coups en bandoulière.
Laurent Billard 11/24